Notre raison d’être
environnementale.
Osmose Nature s’engage à être solidaire de cette cause environnementale, la nature étant pour elle, garante de la protection des êtres humains et source d’inspiration d’un nouveau modèle de vie pour eux.
Elle garde cependant à l’esprit le fait que ce combat environnemental ne lui appartient pas à elle seule. Avec l’entrée dans la sixième crise biologique, un défi est lancé à l’humanité toute entière. Son sort dépend en quelque sorte de sa capacité à relever ce challenge en renversant la tendance au cours du siècle et dans les prochains. Un défi sociétal immense l’attend – immense tout d’abord de par les choses que devront accomplir les êtres humains s’ils veulent ne serait-ce que ralentir cette crise écologique – immense de par l’enjeu, les conséquences de cette dernière étant directement associées à la perte de ce qui est vital, essentiel aux êtres humains.
Comme d’autres projets entrepris par certains, Osmose Nature tend à concourir à cette finalité qu’est la sauvegarde des espèces.
La nature y laisse ses plumes et l’humanité perd les siennes.
Ensemble, rendons ses plumes à la nature !
« Osmose Nature met sur le même plan, ses missions de production d’information scientifique et de lutte pour la préservation de la biodiversité. Son développement commercial n’est pour la société qu’un moyen pour satisfaire à sa mission environnementale. Elle cherche à agir, vise des objectifs à son niveau, déploie des moyens à son échelle, pour contribuer à rendre quelques-unes de ses plumes à la nature alors que l’humanité perd les siennes. »
Vanille, Présidente dirigeante d’Osmose Nature.
Notre modèle de société durable pour demain.
Cherchant à concourir aux objectifs 2030 du développement durable que se sont fixées les Nations Unies pour assurer dans le futur, la paix et la prospérité des peuples et de la planète, inspirée notamment par l’objectif n°3 : éducation, par les objectifs n°14 et 15 : vie marine et vie terrestre et par l’objectif n°17 : partenariats, Osmose Nature se veut être un exemple de société durable pour demain et entend générer un impact positif et significatif dans l’exercice de ses activités.
Osmose Nature intègre à son projet économique, des dimensions sociétales fortes, car elle croit que pour que la société puisse avoir l’impact écologique recherché, elle doive intégrer l’interdépendance des choses, pour trouver comme dans un écosystème un juste équilibre. « L’étalement » de la société sur l’ensemble des axes du développement durable est une clef intéressante, car se préoccuper des volets environnemental, culturel, social et pas simplement du volet économique, peut permettre d’avoir un impact écologique positif.
Derrière ce média, il n’y a : ni une association caritative, ni une société à profit, mais une société à mission.
« En revendiquant sa qualité de « société à mission », Osmose Nature franchit 2 marches facultatives pour les entreprises, mais selon elle, nécessaires au regard de l’envergure enjeux. Ainsi, elle place sa raison d’être environnementale au cœur de sa gouvernance. »
Vanille, Présidente dirigeante d’Osmose Nature.
Osmose Nature s’étant auto-proclamée société à mission, la société fait référence dans ses statuts : à la raison d’être environnementale qui l’anime, sa volonté de lutte pour la préservation de la biodiversité ; à une série d’objectifs visant à répondre à l’engagement formulé ; et aux moyens déployés, nécessaires pour exécuter et suivre la mission environnementale.
Nos 3 mots d’ordre : engagement, performance et transparence.
Animée par sa raison d’être environnementale, Osmose Nature se prévaut publiquement de sa qualité de « société à mission » et de sa solidarité envers la défense de la biodiversité. La société présente à ses parties prenantes, son engagement au travers les objectifs qu’elle visent, sa performance et sa transparence au travers les moyens qu’elle déploient.
4 leviers au service de la finalité que nous visons.
Levier 1 : L’allègement de l’empreinte environnementale en pensant environnement.
Le média cherche à se montrer environnementalement responsable afin d’avoir un impact minimal sur l’environnement dans toutes les étapes d’élaboration de sa revue nature, des investigations conduites à la rédaction du contenu éditorial.
Levier 2 : L’éducation à la citoyenneté en parlant nature.
Le média entend participer au développement de la culture écologique, naturaliste et scientifique en proposant à ses internautes utilisateurs un journal écosystémique, et en éditant une revue nature pour ses clients – lecteurs contributeurs. Les alerter quant à l’érosion de la biodiversité comme conséquente des activités humaines et au fait que la nature soit pourtant garante de la protection de l’humanité et source d’inspiration d’un nouveau modèle de vie pour elle. Mener le projet humaniste de faire prendre conscience aux lecteurs qu’ils sont citoyens de la Terre, les sensibiliser à la nécessité de sa préservation…
Levier 3 : La mobilisation d’une communauté.
Grâce à sa raison d’être environnementale de lutte pour la préservation de la biodiversité, le média désire rassembler ses parties prenantes : internautes utilisateurs, clients – lecteurs contributeurs et partenaires annuels – organismes défenseurs de la nature, dans une même communauté. Reconnu par elles, il souhaite les convaincre de s’engager avec lui.
Levier 4 : La génération et le partage de ressources.
Le média se veut proposer une économie verte de partage entre les personnes et en faveur de la nature. Les abonnements solidaires à la revue nature doivent permettre à ses clients – lecteurs contributeurs de venir en soutien à ses partenaires annuels – organismes défenseurs de la nature.
Finalité : La protection de la nature.
Le média aspire directement contribuer à la protection de la nature. Il s’immisce dans des programmes de préservation de la biodiversité comportant des actions concrètes, en reversant des fonds collectés pour ses partenaires annuels – organismes défenseurs de la nature.
Quelques moyens que nous déployons.
Le soutien financier envers la biodiversité.
Le partage autant que possible des ressources générées annuellement, avec le reversement de fonds à ses partenaires annuels – organismes défenseurs de la nature, reste l’une des exigences les plus fortes initiées par le média. En apportant un soutien financier à ses partenaires, le média contribue au soutien de la nature. En effet, les fonds collectés et reversés par le média vont permettre la mise en œuvre par ses partenaires d’actions de lutte pour la préservation de la biodiversité.
La rédaction d’un rapport d’activité annuel.
Le média prend l’initiative de publier systématiquement un rapport d’activité annuel, à destination des principales parties prenantes intéressées que sont : ses partenaires annuels – organismes défenseurs de la nature, ses internautes utilisateurs, ses clients – lecteurs contributeurs… Ce compte-rendu va présenter des données financières comme la part et l’usage des fonds collectés et reversés à la nature, mais aussi les programmes de sauvegarde des écosystèmes et des espèces ayant été soutenus. Ce document va aussi permettre à chacun / chacune d’évaluer le degré de solidarité du média, de voir qu’il génère bien une économie verte fondée sur le partage de ressources entre les personnes au profit des écosystèmes et des espèces.
La nomination d’une personne référente.
Une référente de mission est nommée par le média pour contrôler l’adéquation entre raison d’être et pratiques.
Le contrôle auquel nous nous soumettons.
Le média va faire régulièrement l’objet d’une vérification par un Organisme Tiers Indépendant (OTI) accrédité. Ce dernier va décider de la conservation ou de la révocabilité de la qualité de « société à mission » du média.
La fiabilité de l’information apportée par un média libre et indépendant.
Le média se veut fournir à ses internautes utilisateurs et à ses clients – lecteurs contributeurs, une information écologique, naturaliste et scientifique de qualité, qui se veut fiable. Fiable, de par sa crédibilité : l’information se veut précise, complète, sourcée, vérifiée ; mais aussi fiable de par son éthique, car l’éthique peut concourir à la fiabilité de l’information. Pour cette raison, le média choisit, dès sa création en 2023, d’être un journal libre et indépendant.
L’entrée dans une démarche de Responsabilité Sociétale.
Parce qu’elle est un moyen de l’élever pour avoir un impact positif sur le monde, le média rentre, très rapidement après sa création en 2023, dans une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) (liée au développement durable). À ce titre, il explore la voie de la labellisation pour le guider dans sa recherche d’amélioration continue en matière de durabilité.
Notre cheminement dans la démarche RSE.
Pour répondre à l’aspiration du média et donner une vraie envergure à son engagement RSE, ce dernier se tourne vers l’obtention de labels comme Lucie et B Corporation, deux labels exigeants en matière de RSE.
Lucie et B Corporation apportent tous deux la preuve d’un engagement sincère et exigeant des sociétés françaises en faveur de la RSE. La certification d’une entreprise repose sur un audit externe de quelques jours, qui nécessite au préalable un auto-diagnostic en profondeur et une protection à moyen terme vers une prise d’engagements. L’Organisme Tiers Indépendant habilité pour délivrer le label examine à la fois le niveau de maturité et l’ambition RSE de l’entreprise. Pour que le label soit accordé, ils doivent tous deux être suffisants. Le label Lucie ou B Corp est attribué pour une période de 3 ans. L’entreprise se voit délivrer une attestation. Pour prolonger sa labellisation au-delà de cette durée, l’entreprise devra prouver être dans un processus actif d’amélioration.
L’ambition que nous avons.
Se projetant dans les années futures, Osmose Nature compte aligner ses résultats avec des objectifs, croissants en matière de sauvegarde d’écosystèmes et d’espèces. Cet extrait du Plan de Financement Prévisionnel expose les perspectives que la société s’est fixée.
Année.
2029.
2028.
2027.
2026.
2025.
2024.
2030.
Nombre de partenaires qu’Osmose Nature espère servir.
52.
46.
39.
33.
26.
20.
13.
Fonds qu’Osmose Nature espèrent collecter pour être reversés à la nature. Pourcentage du Chiffre d’Affaires.
20.
30.
40.
50.
60.
70.
75.
Total :
Fonds qu’Osmose Nature espèrent collecter pour être reversés à la nature. Montant en euros.
6 000.
13 000.
29 000.
53 000.
82 000.
120 000.
160 000.
463 000 euros
Équivalent en hectares de nature qu’Osmose Nature espère protéger.
83.
181.
403.
736.
1 138.
1 667.
2 222.
6430 hectares.
Besoin annuel de lecteurs abonnés à la revue nature solidaire.
2 000.
3 000.
5 000.
7 000.
9 000.
11 000.
14 000.